Evelyne Dress
Les Silences de Venise
Dans ce roman où la Sérénissime nous est bellement contée, Evelyne Dress, nous transporte dans des aventures amoureuses sur fond de généalogie où les passions se croisent. Des qui mains caressent un violoncelle… puis arrive cet homme en quête d’identité, qui lutte discrètement contre son destin… Eva en exploratrice absolue de la vie, nous fera découvrir que notre nom renferme des pouvoir parfois inespérés. Dévorer ce livre est un voyage au cœur de Venise et de ses mystères les plus obscurs. Ses ruelles et ses célèbres monuments en composent cette âme tant évoquée, qui s’attache à notre âme, jusqu’à susciter la nécessité de la découvrir ou d’y retourner.
Extrait :
L’heure bleue s’annonce timidement…Regardez, c’est le moment où le ciel a perdu son soleil, mais n’a pas encore trouvé ses étoiles.
On dirait qu’il connaît son Dante par cœur : « L’amour qui meurt le ciel et les autres étoiles* ». Il pourrait finir par me plaire.
- C’est un moment de douceur et d’infinie tendresse, de nostalgie aussi, le moment où des bouffées d’émotion me remontent, où je m’abandonne à mon enfance perdue. Je pense à ma mère, à tout ce que j’aurais pu lui offrir. Pardonnez-moi Eva, je ne refoule jamais mes larmes.
Je ne sais pas quoi dire, il m’étonne.
Artiste complète, Evelyne Dress s’est exprimée dans de multiples domaines, toujours avec bonheur et succès. Elle est actrice(Et la tendresse ? Bordel !), réalisatrice(Pas d’amour sans amour), puis artiste-peintre.
Elle a signé pas moins de 10 romans, dont Je veux peindre et aimer, Cinq jours de la vie d’une femme, Les tournesols de Jérusalem…
*La fin de La Divine Comédie : « L’amor che move il sole e l’altre stelle . »
Editions Glyphe
Prix public 18 euros
MV