Ainsi que l’an dernier à la même époque, la Galerie terrain Vagh vous convie à son exposition de groupe : Grand Cadeau, petits formats pour vous offrir un panorama d’œuvres artistiques, accessibles, que vous soyez collectionneur, passionné, curieux ou amateurs d’art.
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Bijouterie Charcuterie... Une sorte de lapsus lexical, un croche-pied verbal, une chimère linguistique. Mais qui est donc cet artiste qui met le monde en boîte et que nous propose-t-il ici ?
Bernard Briantais, qui à ses propres dires dessinait déjà dans le ventre de sa mère, travaille à partir de scènes de rue, faisant feu de tous supports : papiers, toiles, matériaux de récupération, avec trois fois rien en somme ; il aimerait même passer à quatre fois rien... Recueil de morceaux de vie à la poésie corrosive et plaidoyer à l’humour grinçant, le travail de Bernard Briantais est un aveu de tendresse pour l’humanité. Il met en scène avec amour et humour des personnages anonymes, des « petites gens » comme on dit : invisibles et laissés pour compte, petits commerces comme on n’en voit plus guère, bistrots de quartier, marginaux, poètes, contestataires de tout poil...
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Maurice Calka, sculpteur, désigner et urbaniste français (1921- 1999) est né à Lodz en Pologne. Très jeune, il se présente à l’âge de 16 ans à l’école des Beaux-Arts de Lille où il restera trois ans. Après le retour de la guerre il étudie la sculpture à l’école supérieure des Beaux-Arts de Paris et obtient le premier Grand Prix de Rome en 1950. Par la suite il y enseignera le dessin et la sculpture. Au cours de sa carrière, il signe pas moins de 47 réalisations à caractère urbain, bas-reliefs et mosaïques, places -fontaines. La plasticienne Katarzyna Lavocat, que nous connaissons pour ses tapisseries exposées récemment lors de l’exposition de Saisons de culture à la Mairie du 6ème arrondissement de Paris, a parallèlement collaboré pendant trente ans à l’œuvre de Maurice Calka.
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« BLACK INDIANS DE LA NOUVELLE-ORLEANS »
Le but indiqué de cette exposition en quelque sorte intemporelle, son objectif donc est de célébrer la créativité culturelle et artistique des Africains Amérindiens de La Nouvelle-Orléans (de la Louisiane en général conviendrait-il plutôt de dire) une société (comme une Nouvelle-Afrique idéalement) sur ces rivages lointains où la sauvagerie des Européens les avait vendus au sens propre, bien souvent avec de sinistres complicités de belliqueuses communautés africaines en conflit les unes avec les autres.
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Bien avant que Michel Ciry se fasse connaître comme peintre avec ses visages hiératiques, sa réputation tenait à sa gravure, au regard qu’il portait sur le texte non pour l’illustrer, mais pour chercher par son trait ce qui se cachait derrière les mots.
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Karine Fougeray est l’instigatrice d’une exposition magnifique Une Rance à Soi, en escale cette fois-ci à La Maison du Voyageur et des Epices, à Cancale, jusqu’au 30 octobre 2022.
Karine, vous êtes écrivain et journaliste, quelle fut votre formation ?Texte intégral
En cette Europe trouble et agitée que fut le début du XXème siècle, heureux les artistes et les poètes, les écrivains et de façon générale tous ceux que l’on commençait alors à distinguer sous le nom d’intellectuels, qui pouvaient agir « gratuitement » d’après ce que leur dictait leur conscience sans se soucier du cadre civilisationnel où ils s’inscrivaient , comme par exemple les artistes et littérateurs des « Démocraties occidentales » disons simplement les Français et les Anglais, tout juste les Belges si l’on accepte de sourire de leurs problèmes de Francophones ou de « Flamingants » et dont les heureux intellectuels pouvaient arborer leurs opinions comme telles en tant que « hobbies » comme Picasso Marxiste en France, pour arborer des idées politiques comme des décorations...
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C’est dans le cadre de la Biennale des Artistes du 6e que nous irons prochainement rendre visite aux œuvres de l’ukrainienne Natalia Kruchkevych dont l’exposition porte le doux titre Le chant de la vie. Il ne s’agit en aucun cas pour l’artiste de faire preuve d’angélisme, car avec sa famille demeurée in situ, elle souffre dans chaque fibre de son être, de cette situation désespérante qui semble s’être inscrite dans une certaine forme de durée.
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Dès la première rencontre avec les tableaux de Stéphane Fromm, j'ai eu l'impression de communier avec l'un des poètes métaphysiques anglais, tel John Donne ou Georges Herbert , pourtant des siècles nous séparent d'eux, sans parler d'une autre discipline de l'art. Néanmoins, dans la nature de ce que cette peinture exprime, j'ai ressenti des similitudes, une cadence, une sensualité. Je l’ai perçu de cette manière il y a quelques années. À la lecture des textes consacrés à Stéphane Fromm et au vu de certaines oeuvres j'ai compris quelle importance ont pour lui les liens entre les mots et les images. Sans chercher à définir ce qui s'exprime visuellement, j’ai senti que l'artiste distinguait les frontières entre ces deux univers. Par conséquent, ses peintures ne sont pas des illustrations de la poésie de Paul Celan ou de George Trakl, mais plutôt une continuité et une tentative d’instaurer un dialogue.
Le peintre travaille sur des séries, comme en témoigne le même titre donné à de nombreux tableaux. Chacun raconte sa propre histoire, mais seule la série entière les noue dans une structure polyphonique. Certes, il faudrait acheter toute une collection pour lire l'œuvre entière, car elle n’est jamais fermée , toujours prête à raconter une histoire ou juste donner un commentaire sur elle-même. Texte intégral
Disparates en espagnol est la traduction de folies. Quatre mains pour un seul cœur, c’est l’option choisie par Sophie Sainrapt et Emmanuelle Renard pour cette exposition inédite qui rend hommage au grand œuvre de Francisco Goya. Toutes deux partagent une même passion pour la créativité fantastique du maître. Et le délire est bien réel, dans ce foisonnement onirique où sexualité, violence, nudité débridée et poésie, poésie et encore poésie, nous entraînent dans les abysses d’un néant gigantesque !
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Lorsque deux femmes et amies décident pour produire des gravures originales à quatre mains, de confronter leurs approches artistiques, aussi dissemblables soient-elles, cela nous apprend plusieurs choses :
La première est qu’elles n’ont pas peur de la liberté. Effectivement ni l’une ni l’autre ne se protège derrière un dogme artistique, une pratique installée ou une « marque de fabrique » intangible.
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Dans mes promenades autour de Saint-Germain-des-Prés, je quitte souvent la rue Bonaparte et marche le long du passage étroit de la rue Visconti en direction de la rue Dauphine. La raison de mon choix d’itinéraire est la galerie GNG au coin même de ces deux rues.
Je salue Gilles Naudin, le galeriste, qui m’invite à une petite visite privée avec un commentaire sur l’exposition en cours. Je peux souvent admirer les œuvres d’artistes que je ne connais pas et chaque fois je sors enchanté par ce que j’ai vu. Texte intégral
Les amphithéâtres tels qu’on les imagine depuis les plus lointaines civilisations épousent le flanc d’un coteau et posent leurs marches face aux étoiles. Ici le spectacle donné par les hommes se joue sous le chœur des étoiles. Scandent - elles alors la destinée des comédiens, dessinant au-delà de leurs jeux une trajectoire à leur passion ?
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Après avoir traversé une période délicate, le Festival du Film Britannique ainsi que toute la profession clament : Save the cinema, en promettant une édition brillante, royale ! Tel est le nom d’un des films programmés par la directrice artistique Dominique Green.Save the Queen s’efface tristement ce mois-ci mais Save the Cinema scintille. La ville de Dinard reçoit pour la 33ème fois le meilleur du cinéma Britannique pour le faire rayonner dans son territoire, grâce à la diversité culturelle de sa programmation.
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Les LAURIERS devaient se réinventer, non seulement pour tenir compte de la crise sanitaire, mais surtout pour célébrer la qualité et la diversité des programmes audiovisuels français qui ont constitué en 2020 un espace de détente, de savoirs et d’informations, un espace de lien social qui a rythmé plus encore nos vies quotidiennes.
Seront décernées lundi 8 mars à 18h30, en présence d’invités surprises, les distinctions suivantes :
- Laurier Information Television
- Laurier Series
- Laurier Numerique
- Laurier Programme Radio
- Laurier Musique
- Laurier Civisme et Grande Cause
- Laurier Magazine
- Laurier Fiction (Téléfilm)
- Laurier Culture
- Laurier Interpretation Masculine
- Laurier Interpretation Feminine
- Laurier Jeunesse
- Laurier Documentaire
- Laurier d’Honneur
- Laurier d’Or
https://www.clubavparis.com/lauriers/brochure-2020/#fb0=33