Lettres

L’anachronique du flâneur N° 8

Par Marc Albert-Levin

 Sous la belle verrière du Grand Palais Chère lectrice, cher lecteur Impossible d’écrire ma chronique du flâneur de la fin 2013 sans avoir dit un seul mot de la FIAC, du 23 au 26 octobre, trois jours qui pèsent sur ma mémoire comme un insupportable remords !
J’aurais aimé simplement dire, parce que je n’y retrouvais aucun des artistes amis que je soutiens, que cette 40e foire internationale n’était pas celle de l’art contemporain mais celle de l’art catastrophique, de l’art chaotique ou cataclysmique. Mais cela passerait pour pure jalousie de ma part et ne rendrait certainement pas compte des efforts de 154 galeries venues planter leurs cimaises sous la verrière du Grand Palais de Paris, en provenance de 58 villes différentes ! Sans parler des efforts des 3195 artistes représentés, morts ou vivants, qu’un simple flâneur aurait l’outrecuidance de juger en trois mots !

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