Edgar Sarin
Le mystère en testament
Edgar Sarin étonne. Edgar Sarin fascine. Il reçoit Saisons de Culture dans un lieu insolite, la Chapelle du père Séraphim, prêtre qui le soutient et qui nous accueille par la lecture d’un poème écrit en alexandrins. J’apprends que l’auteur n’est autre que ce jeune homme, Sarin, qui parait sorti d’une autre époque, perché sur la dernière marche d’un escabeau, une cigarette incandescente à la main. Je perçois, à travers les brumes de l’encens, les marques d’une chapelle. Il y a là, allongée sur un sofa de fortune, une dame sans âge, qui répond au prénom de Roseline.
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