Lettres
Wojciech Pszoniak, immense.
Par Krystyna Bourneuf
Anachronique du flâneur N° 25
Par Marc Albert-Levin
Chère lectrice, cher lecteur
Une exposition récente au Musée Guimet, Place d’Iéna à Paris qui restera visible jusqu’au 4 novembre 2019, me donne l’occasion d’écrire sur un sujet dont les lecteurs de Saisons de Culture savent déjà qu’il me tient particulièrement à cœur.
Culture confinée
Par Iris Alter
Le grand bal
Par Mylène Vignon
Anachronique du flâneur N° 24
Par Marc Albert-Levin
Chère lectrice, Cher lecteur
« Le Modèle Noir de Géricault à Matisse » au Musée d’Orsay à Paris est une exposition comme il n’y en a encore jamais eue en France. Elle est l’occasion de revenir sur l’histoire de ces Français « à part entière » dont l’expérience à trop souvent été entièrement à part. Texte intégral
Ta putain de vie commence maintenant
Par Mylène Vignon
Ewa Demarczyk
Par Krystyna Bourneuf et Sergiusz Chądzyński
Anachronique du flâneur N° 23
Par Marc Albert-Levin
Chère lectrice, cher lecteur,
Je parlais dans mon anachronique précédente des livres d’art, des livres d’artistes et je gardais pour la fin (mais tant qu’il y aura des livres et des artistes y aura-t-il jamais une fin?) un petit joyau de livre à poser, si vous en avez une, sur votre table de chevet. Beau livre objet, à lire et à relire, à garder et à regarder, dans l’ordre ou dans le désordre, comme vous voudrez : en l’ouvrant à l’une ou l’autre des lettres de cet abécédaire baroque. Il est comme un bijou dont il est impossible de saisir tout de suite les multiples reflets.
Texte intégralChristian Boltanski, Faire Son Temps Au Centre Pompidou
Par Henri-Hugues Lejeune
Florilège des Saisons
Anachronique du flâneur N° 22
Par Marc Albert-Levin
Chère lectrice, cher lecteur,
Zéglobo Zéraphim, mon alter égo, celui qui reste poète même quand je ne suis que simple employé de bureau, a beau me susurrer à l’oreille, avec son optimisme perpétuel et son sourire parfois si exaspérant : « les défaites de Noël conduisent inévitablement aux victoires de l’année suivante ». Rien n’y fait. J’ai beau voir la hotte de Saint-Nicolas déborder de livres d’art, mon cœur à moi, en cette fin 2018, déborde de nostalgie. Texte intégral
GRECO au Grand Palais
Par Henri-Hugues Lejeune
Après avoir admiré cette superbe et révélatrice exposition, nul n’ose se rappeler l’image, certes confuse et gourmée, traditionnelle pourtant, d’un peintre Espagnol, donc austère malgré ses origines Grecques, Crétoises, de portraits aux visages allongés et lugubres, orgueilleux engoncés de noir, ou torturé dans l’énigme labyrinthique de « L’enterrement du comte d’Orgaz », d’ailleurs restée dans l’Eglise Saint-Thomas à Tolède aussi superbe qu’énigmatique.
Bref, l’on s’en tenait à une distance respectueuse et on ne le connaissait pas. Texte intégral