Evenements
Anton Martineau
Par Théodore Blaise
En ces premiers jours de l’année, à Rouen où je me promenais, j’ai découvert à la galerie Duchose, qu’anime aujourd’hui René Réthoré, un artiste dont j’ignorais tout, Anton Martineau.
Devant ces œuvres, m’est venu ce mot que je n’utilise que rarement : hâbleur. Sans doute pour la valeur de sa sonorité et parce qu’au plus loin, ce Martineau m’évoque Franz Halls, pour la truculence de ses chairs traitées d’une touche qui impose le plaisir de peindre. Il est dans l’austère Hollande protestante, le seul qui sait poser un sourire sans qu’il ne devienne rictus. Texte intégral
La Fab
Par Véronique Grange-Spahis
FloriRêves
Par Mylène Vignon
Ludwika Ogorzelec : Je recherche un moment d’équilibre
Par Sergiusz Chądzyński
Le couperet est tombé
Par William Mesguich
Akira Inumaru
Cimes et racines
Ye Xingqian au Salon Asia Now Paris
Par Mylène Vignon
La couleur enflammée du Greco
Par Cybèle Air
La puissance et la gloire – Maillol et Gaudi
Par Henri – Hugues Lejeune
Théâtre – « Le petit coiffeur »
Par Katy Sroussy
Pas brut du tout le Jaber
Par Théodore Blaise
L’art brut, ça n’existe pas. Et pas de “pourquoi pas », ça n’existe plus !
L’usurpation de ce syntagme employé à toutes les sauces libertaires à propos de pratiques qui confondent licence et liberté, peu de savoir-faire avec le « non-faire », est en vogue. N’est-ce pas un des penchants du monde de l’art que de baptiser d’un nom « banquable »,tout et n'importe quoi, des machins et autres riens pour qu’ils brillent sous une appellation usurpée. Texte intégral
Et si l’art faisait voyager
Par Iris Alter
Hélène Jacqz : l’exposition CARAVANE
La galerie l’Ephémère
Michał Batory « Rétroperspective »
Par Sergiusz Chądzyński
Située au centre de la ville de Varsovie, facilement accessible, la « Stanska art gallérie » attire l’attention par son agencement feutré, le décor sombre des murs et des espaces très éclairés. Ceci fait d’elle un lieu idéal pour promouvoir ce qui est de mieux dans l’art d’antan et celui d’aujourd’hui, un endroit rêvé pour accueillir l’exposition de Michał Batory sous un titre très parlant de « Rétroperspective ». Texte intégral