Ben au Musée Maillol
Par Henri Hugues Lejeune

Incontournable dans le monde de la photographie du vingt-et-unième siècle, Remi REBILLARD joue désormais dans la cour des grands.
Né en France, l'artiste a fait le choix de s'installer aux Etats Unis. C'est lors de son exposition de Bruxelles, que j'ai vraiment pris conscience de la valeur de ce travail qui a déclenché chez moi, l'envie. La féminitude et ses paroxysmes, ont suscité, comme dans un miroir intime, le désir d'écrire sur notre belle complexité, nos fractures, à nous les femmes, observées à travers l'oeil du photographe.
C'est l'océan avec ses climats et sa beauté, qui insuffle l'inspiration à Patricia Olive au quotidien.
Texte intégralAlain DORISON avait précédemment reçu le 9 novembre 2004, au nom du Président de la République les insignes de Chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur, distinction remise au Ministère des Finances par Dominique BUSSEREAU Secrétaire d'Etat au Budget et à la Réforme Budgétaire.
Texte intégralAussi fertile que créative, Nicole nous invite à pénétrer son imaginaire dans une série d’œuvres architecturées autant que lumineuses.
Le rythme qui ponctue le canevas se mêle et s’emmêle dans un chaos harmonique qui ramène à la nature dont elle aime tant s’inspirer. Un peu moins sage, l’autre «nature» ; celle de la créatrice, aime jouer avec les interstices des limites de ses diverses fantaisies.
La médaille de la Ligue Universelle du Bien Public vient d'être attribuée à Woytek Konarzewski, président de " Saisons de Culture " à la Maison d'éducation de la Légion d'honneur de Saint-Denis.
Par l'étendue de votre action, vous avez l'élégance et la générosité de faire partager cette démarche d'excellence à un public élargi, toujours au service de l'intérêt général, soyez en remercié.
Adrien Perreau pour le comité de rédaction de " Saisons de Culture ".
Le dernier film d’AndreÏ Mikhalkov-Kontchalovski
Avec Aleksey Tryapitsyn, Irina Ermolova, Timur Bondarenko, Viktor Kolobkov, Viktor Berezin, Tatyana Silich, Irina Silich, Yuriy Panfilov évidemment cela paraît compliqué. Parler d’un film qui apparaît sur les écrans parisiens puis disparaît pour réapparaître soudain lors d’un Festival ou d’un autre. Mais mon désir d’en parler est d’autant plus fort que précisément on ne le montre presque pas. Et c’est un si beau film, ils le font exprès ? La réponse est oui. Une simple question d’argent. On achète pour presque rien des petits chefs-d’œuvre étrangers, on ne dépense rien en promotion et quand on a fait son beurre à peu de frais on les vire des salles où ils n’ont été montrés que parcimonieusement, quelques séances par semaine Texte intégral