Pierre Perron est un ancien élève du lycée Clémenceau à Nantes où il s’est lié d’amitié avec le futur romancier, premier ministre et diplomate congolais Henri Lopès.
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Akira Inumaru parle aux jardins de tout son cœur et les jardins lui répondent.
Son objectif primeur réside dans la manière d’apprivoiser la lumière. Cette lumière qu’il capture et en dirige la brûlure au travers d’une loupe activée par le Soleil, avec souvent la complicité de ce merveilleux, dû à l’aléa.
Dans le livre que lui a consacré Alin Avila : Jardins de lumière, il réagit à ce propos aux questions du philosophe François L’Yvonnet :
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Photographies paysagères de Gilles Crampes :
Photographier : c’est écrire avec la lumière
Dans l’exposition, cette définition de la photographie prend tout son sens avec les œuvres paysagères de Gilles Crampes. Leur onirisme restitue une nature majestueuse et souveraine, affranchie de toute présence humaine ou presque. Par ailleurs, par la variété des styles d’encadrement, il rend hommage à la peinture paysagère du XVIIème siècle à nos jours.
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Cette année encore, le Festival du film Britannique de Dinard déploie une programmation d’une rare qualité. Du 27 au 1er Octobre 2023, cette nouvelle édition, qui fêtera ses 34 ans, met à l’honneur des films indépendants, des courts métrages, et nous invite à découvrir de nouvelles pépites du cinéma britannique. Alors, avis aux amateurs et aux cinéphiles, un rendez-vous incontournable que l’équipe de Saisons de Culture se fait une joie de partager avec vous.
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« On peint toujours après et d’après. » Philippe CognéeLe catalogue de Bâle
Pour sa réouverture le 15 mars 2023, le musée Bourdelle présente une rétrospective. La plus importante à ce jour de l’artiste « nantais » Philippe Cognée, qui vit et travaille à Vertou. Cette exposition s’articule autour d’une œuvre composée de 1100 peintures, « repeintures » entre disparition et apparition, composées à partir des pages du Catalogue de Bâle. Philippe Cognée peint une copie de, et sur la reproduction d’une œuvre d’artistes célèbres ou moins connus. Cette frise se déploie tel un labyrinthe.
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La Halle Saint-Pierre vient d’inaugurer une exposition consacrée à « La Fabuloserie ».
Il s’agit là, quelque part d’une sorte de démultiplication de soi-même, d’introspection en quelque sorte en même temps que d’une réflexion sur l’Art Brut en tant que tel comme du rôle qu’ils y ont joué l’un comme l’autre dans la durée, nous apporter, aussi bien que d’une analyse de ce qu’il est par lui-même, en quoi il peut consister, à le délimiter en quelque sorte, ce nouveau venu pour ne pas dire quelque part cet intrus !
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Bonjour Jean Baptiste Barbuscia, vous êtes un jeune auteur. Après avoir écrit Où allons-nous Monsieur Einstein, pourquoi choisir et écrire Le Fossé ?Texte intégral
Jeanne Malivel (15 avril 1895 Loudéac-2 septembre1926 Rennes).
Jeanne une femme libre.
Elle crée son œuvre loin des salons mondains parisiens, elle refuse toute protection et l’académisme de l’école des Beaux - Arts de Paris. Elle a la Bretagne au cœur et, pendant la première guerre mondiale, retourne à Loudéac.
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Maurice Calka, sculpteur, désigner et urbaniste français (1921- 1999) est né à Lodz en Pologne. Très jeune, il se présente à l’âge de 16 ans à l’école des Beaux-Arts de Lille où il restera trois ans. Après le retour de la guerre il étudie la sculpture à l’école supérieure des Beaux-Arts de Paris et obtient le premier Grand Prix de Rome en 1950. Par la suite il y enseignera le dessin et la sculpture. Au cours de sa carrière, il signe pas moins de 47 réalisations à caractère urbain, bas-reliefs et mosaïques, places -fontaines. La plasticienne Katarzyna Lavocat, que nous connaissons pour ses tapisseries exposées récemment lors de l’exposition de Saisons de culture à la Mairie du 6ème arrondissement de Paris, a parallèlement collaboré pendant trente ans à l’œuvre de Maurice Calka.
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J'étais hier soir, jeudi 29 juin à l'inauguration de l’exposition de Rui Prazeres au Pavillon Davioud du jardin du Luxembourg, accès Porte Vavin, 55, rue d’Assas. Les toiles resteront visibles jusqu’au 10 juillet 2023. L’un de ses amis de longue date (Pablo Poblète, un poète franco-canadien d’origine chilienne qui résida pendant quarante ans à Paris) m’avait conseillé de le rencontrer.
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En 2023 la Vendéthèque de la Châtaigneraie en Vendée fête ses dix ans, pour cette occasion et répondant à la volonté du département, une exposition exceptionnelle se tient du 18 février au 20 mai 2023 :
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Karine Fougeray est l’instigatrice d’une exposition magnifique Une Rance à Soi, en escale cette fois-ci à La Maison du Voyageur et des Epices, à Cancale, jusqu’au 30 octobre 2022.
Karine, vous êtes écrivain et journaliste, quelle fut votre formation ?Texte intégral
C’est au théâtre de la Contrescarpe qu’une équipe de Saisons de Culture a découvert avec bonheur l’émouvante prestation d’Annadré. Ce spectacle sensible relate de grands moments de la vie de la muse de Saint-Germain-des-Prés. Étourdissante prestation, qui nous fait oublier le présent pour nous envoler vers les temps heureux de Joseph Kosma, Jacques Prévert, Bernard Dimey, Jacques Brel, Serge Gainsbourg…
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Néophytes, initiés, la Galerie Terrain Vagh vous convie à voyager à la découverte de différents mondes,
à plonger au cœur d’un univers spirituel dans lequel se mêlent onirisme et métamorphose physique.
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Dès la première rencontre avec les tableaux de Stéphane Fromm, j'ai eu l'impression de communier avec l'un des poètes métaphysiques anglais, tel John Donne ou Georges Herbert , pourtant des siècles nous séparent d'eux, sans parler d'une autre discipline de l'art. Néanmoins, dans la nature de ce que cette peinture exprime, j'ai ressenti des similitudes, une cadence, une sensualité. Je l’ai perçu de cette manière il y a quelques années. À la lecture des textes consacrés à Stéphane Fromm et au vu de certaines oeuvres j'ai compris quelle importance ont pour lui les liens entre les mots et les images. Sans chercher à définir ce qui s'exprime visuellement, j’ai senti que l'artiste distinguait les frontières entre ces deux univers. Par conséquent, ses peintures ne sont pas des illustrations de la poésie de Paul Celan ou de George Trakl, mais plutôt une continuité et une tentative d’instaurer un dialogue.
Le peintre travaille sur des séries, comme en témoigne le même titre donné à de nombreux tableaux. Chacun raconte sa propre histoire, mais seule la série entière les noue dans une structure polyphonique. Certes, il faudrait acheter toute une collection pour lire l'œuvre entière, car elle n’est jamais fermée , toujours prête à raconter une histoire ou juste donner un commentaire sur elle-même. Texte intégral