Art
Galerie Antoine Dupin
Beaucoup plus qu’une simple visite, c’est une véritable immersion dans la magie de l’histoire et de l’illusion. D’abord, nous sommes accueillis dans le Palais des mirages, où les éléphants se transforment en déesses par des jeux de lumières et de miroirs. Une délicieuse sensation de vertige nous prépare à appréhender la rencontre avec 200 personnages, historiques ou contemporains, auxquels se mêlent parfois au détour d’un coin sombre, un comédienvivant.
Réalisé par Xavier Dolan avec Gabriel D'Almeida Freitas, Xavier Dolan.
Nous avions vu un film de ce Xavier Dolant, Mommy, qui nous avait bien plu et du coup comme disent les gens résolument modernes, nous somme allés voir Juste le Fin du Monde qui était très bien aussi selon nous et selon la plupart des gens aux goûts croisant les nôtres. Aussi dimanche nous allâmes voir, pleins d ‘espoir, Matthias et Maxime quelque part à Montparnasse.
Grand mal nous en prit. Texte intégral
Peu à peu tout me happe
Je me dérobe je me détache
Sans laisser d’auréole(1)
Ces dernières semaines, à chaque fois que ma compagne et moi avons envisagé quelques jours ailleurs — plutôt vers la mer, le diktat sanitaire nous est tombé dessus, quand ce n’est pas la fermeture des hôtels et des restaurants ; bref nos jolis plans de détente y sont tombés — à l’eau.
Ne reste plus qu’à se rabattre encore, encore, toujours vers les deniers du rêve, un imaginaire, une histoire mise en pages.
La nouvelle sublime de Giuseppe Tomasi di Lampedusa (2), par exemple : Le professeur et la sirène (3). Ou comment une sirène alias femme fatale, croqueuse de « poissons frémissants » et de chair (d’homme) fraîche, sévit, excessive amoureuse. Elle entraînera par le fond le vieil érudit acariâtredans un final de flots et d’écume.
Texte intégral